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TRANCHES DE VIE(S)

L'espace récussité de la chambre

 

Le sommeil entraîne un glissement de l’espace chambre, lieu habité vers celui de l’espace fictif imaginé et porté par nos rêves. Le mur blanc de la chambre représenté se dilate, se déchire, pèle et laisse entrevoir les différentes "tranches de vies" de cet espace, sous une superposition de couches de papiers peints, de revêtements qui on imagine, ont habillés la pièce.

La matière disparait au fur et à mesure et nous atteignons la couche la plus lointaine (coin droit), celle d'une une combinaison d’éléments réels (souvenirs, épisodes, lieux), où le rêve devient leur espace d’interprétation.

ARRETS SUR IMAGE

Séquence spatiale

 

Les photographies sont la matérialisation d’un parcours perçu à échelle humaine d’un point à un autre. Elles sont  la capture du chemin fait dans cet espace.  Le travail effectué par la suite consiste à recomposer le déroulement progressif de l’image, par le biais de la fragmentation, la superposition, jusqu’à perturber  la logique de développement de cette image.

Les cadres découpés mettent l’accent sur une zone de l’image, et le dépliant permet de mettre en abîme la scène et créer une nouvelle forme de séquence.
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DE LA DECOMPOSITION A LA MAILLE

Ordonner / Désordonner

 

L’objet, sous une mise en Å“uvre plastique aléatoire, se dessine par l’enchevêtrement de différents fragments de tissus. D’une organisation désordonnée , le jeu du recul permet d’entrevoir une nouvelle forme d’ordonnancement. Chaque nuances de blanc dialoguent de façon complémentaire,  jusqu’à aplanir l’ensemble. 

La lumière apporte une lecture supplémentaire, elle souligne le modelé de la production et révèle l’organisation rigoureuse de la maille. La notion d’ordonner et de désordonner s’additionnent pour proposer divers jeux de regards autour de la matière.
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