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ENTRE-DÉCOUVRIR

Restructuration et aménagement intérieur
de l'Hôtel Voltaire- Opéra

 

L’espace de l’hôtel pourrait se réduire à celui de la chambre. En effet le client paye sa nuit, pour une chambre, pour un lit.  En référence à l’identité  du XVIIIème, l’espace du lit devient un objet de mise en scène, un lieu d’intimité exacerbé. Un jeu de rideaux et de voilages viennent entourer,  dévoiler, habiller, séparer, cacher le lit dans son rapport à l’espace de la chambre. 
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Les images des toiles de Nantes sont réutilisées afin d’inscrire l’hôtel dans son contexte local (Au XVIIIème , Nantes avait une tradition de filage des toiles). Ces éléments d’allégorie transpirent de la façade, proposant des scennettes visibles de la rue, elles évolueront au gré des usages.  Plusieurs éléments de ces toiles ponctueront le parcours pour attiser la curiosité jusqu’aux chambres,

le coeur de l’hôtel.

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PERCÉE - SORTIE DE VOIE

Intensification quartier de La Bottière - Nantes

 

La  création de cette passerelle est perçue comme une percée de la ligne de tram vers le quartier, poreuse aux  échanges réciproques (rencontres culturelles …), pour mieux vivre son quartier à l’échelle de la métropole. La station de tram est l’élément stratégique, elle relie la construction d’une architecture projetant d’accueillir divers événements.
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Cette passerelle se dessine sous la forme d’un trait d’union à l’échelle du paysage. Le franchissement est une promenade dynamique pour l’usager, la traversée devient narrative. La perspective est tronquée par une surface en éventail, le retour et l’aller donnent des impressions de distances différentes. La passerelle se regarde comme un tremplin,  point de départ pour un plongeon dans cette cité.

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LES HAUTES HERBES MOUVANTES

Requalification du moulin de Chelles et de ses abords

 

Dans le prolongement des ruines du moulin, il s’agit d’offrir une promenade évoquant "le temps qui passe", un territoire qui se laisse vivre  basé sur un aménagement à faible entretien. Pour laisser une large parcelle aux espaces plantés, le chemin de promenade a été imaginé à la périphérie de la zone exploitable du site, les différents volumes végétaux viendront animer le dialogue avec la Marne.

​Le moulin devient un point charnière où se rencontre les différents usagers, en effet le piéton peut louer des vélos pour profiter d’une balade sur l’autre rive aux abords du lac, avec des équipements davantage prévus pour cet effet. Le cycliste quand à lui peut déposer son vélo pour profiter de la promenade le long des berges.  Le local à vélos, l’abris ont été imaginés afin de  minimiser l’impact visuel du bâti sur le moulin.

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Diaporama

L'ATELIER

Esquisse scénographie Festival D au Lieu Unique

 

Le festival D devient le temps d'un week-end le lieu d'émulation, de rencontres entre «bidouilleurs», inventeurs, amateurs. Ils viennent pendant ces deux jours transmettre leurs projets, expérimenter, pour faire découvrir leurs démarches. Ils ouvrent leur atelier au grand public ! L'atelier fait sens commun, il deviendra le fil conducteur de la scénographie. Le visiteur est invité dès l'entrée, à suivre la chaîne de production.

 

On offre au visiteur une lecture ample du lieu, en jouant sur des grandes percées. Les tables des quarante exposants s’alignent les unes à la suite des autres, faisant référence à l’organisation industrielle. Mais dans un deuxième temps la scénographie favorise une plus petite échelle, correspondant à celle de l’atelier. L’espace est dégagé permettant des circulations étroites à l’intérieur des îlots, favorisant l’aspect intimiste de l’échange.

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